Fin de la « Françafrique » et développement d’une politique de coopération normalisée avec les pays d’Afrique.
Abandon du franc CFA. Les pays africains affiliés au franc CFA doivent se doter de Banques Centrales nationales comme doit en posséder tout pays souverain. La France devra assumer la perte des subsides en milliards qu’elle détourne de la « Françafrique » à son profit depuis trop longtemps.
Soutien monétaire de ces nouvelles monnaies par une politique adaptée de la Banque de France.
A l’avantage de cet abandon, la France doit adopter une politique d’investissement dans ces pays via l’incitation auprès des entreprises nationales à l’installation d’unités de production et de transformation des produits initialement importés et transformés en France, en Europe ou ailleurs.
Dans la foulée de cette politique, organisation de retours au pays par consentement avec embauche privilégiée de ces candidats au retour dans les entreprises ainsi créées.
Aide conséquente, à mesure de besoins et de demande, dans la restauration d’Etats démocratiques et dans l’organisation d’élections idoines. Arrêt immédiat des soutiens français aux politiciens notoirement corrompus. Ingérence médiatique, si nécessaire, pour dénoncer les politiciens corrompus bien connus des services français.
En échange, négociation de contrats d’exploitations minières à prix préférentiel et attribution de concessions exclusives avec partage équitable des profits. Intransigeance absolue des parties françaises vis à vis des velléités de corruption (commissions et rétrocommissions).
Aide à la renaissance des cultures vivrières et des pêches côtières actuellement éradiquées dans ces pays via une concurrence déloyale par des importations à bas coût.
Fin du pillage des ressources halieutiques et respect des eaux territoriales de ces pays.
Promotion de la francophonie dans ces pays déjà francophones. Collaborations culturelles tout azimut.