L’autorité de Justice doit se garantir des lenteurs préjudiciables à la bonne administration de la Justice. En conséquence, il est disposé d’une augmentation conséquente du budget de la Justice (personnels et moyens).
Augmentation des effectifs des magistrats, greffiers et fonctionnaires des juridictions
Augmentation du nombre de tribunaux d’instance et redéfinition de leur champ de compétences pour améliorer les capacités de traitement des affaires de la vie courante.
Augmentation du nombre d’assistants de justice et ouverture de perspectives d’évolution de carrière vers le corps des magistrats ou celui des greffiers.
Réorganisation des moyens d’escorte judiciaire de l’administration pénitentiaire.
Séparation du budget judiciaire et du budget pénitentiaire en vue de la transparence dans l’allocation des moyens.
Autonomie budgétaire des juridictions pour favoriser la souplesse de gestion, l’adaptation aux conditions locales et la responsabilisation des chefs de juridiction.